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Les évêques vénézuéliens publient une lettre pastorale en vue de leur visite ad limina

Durant leur assemblée plénière, en cours cette semaine à Caracas, les évêques ont présenté une lettre pastorale en vue de la visite ad limina qu’ils effectueront au Vatican du 4 au 17 septembre.

Alina Tufani – Cité du Vatican

«Nous porterons la voix des plus pauvres et des plus petits de la société vénézuélienne»: ce sont les paroles du premier vice-président de l’épiscopat vénézuélien, Mgr Mario Moronta, archevêque de San Cristobal, au cours de la conférence de presse de présentation de la lettre pastorale «en communion avec l’évêque de Rome et l’Eglise universelle», écrite en vue de la visite ad limina des évêques, prévue du 4 au 17 septembre prochain.

Accompagné de Mgr José Trinitad Fernandez, secrétaire général de la conférence épiscopale, l’archevêque de San Cristobal a rappelé l’un des objectifs premiers de la visite ad limina : «renforcer la responsabilité des pasteurs comme successeurs des apôtres, être expression de la vie et de l’engagement de tous les catholiques, qu’ils soient évêques, prêtres, religieux et laïcs».

Ni des «touristes», ni de «simples fonctionnaires»

La lettre pastorale a été présentée, alors que l’assemblée plénière de l’épiscopat a débuté dimanche à Caracas. Dans le document, les évêques affirment que l’audience avec le Pape François, prévue le 10 septembre, sera un moment de dialogue fraternel sur la vie de l’Eglise au Venezuela, dans toutes ses réalités diocésaines, ainsi que sur la situation du pays : «au Pape et à tous ses collaborateurs, nous ferons entendre la volonté de liberté, de justice et de paix de toute notre peuple, touché par la crise qui frappe la nation. En toute sécurité, nous porterons la voix des plus pauvres et des plus petits de la société vénézuélienne».

«Nous ne partons pas comme des touristes ou comme de simples fonctionnaires, -affirment encore les évêques-, parce que cette visite est une réponse à la grâce de Dieu, afin de recevoir de nouvelles lumières pour le bien de notre travail pastoral et en faveur du peuple vénézuélien». Par leur présence à Rome, ils pourront ainsi confirmer leur communion avec le Pape François, qu’ils remercient pour avoir toujours fait montre d’une préoccupation au sujet de leur pays.

Prier pour le succès de cet événement ecclésial

Les dernières visites ad limina des évêques vénézuéliens ont eu lieu en 2002, avec le saint pape Jean-Paul II, et en 2009, sous le pontificat de Benoît XVI. Après neuf ans, cette tradition se présente comme une nouvelle opportunité pour les évêques de «porter les préoccupations, les angoisses, les espérances et les désirs de notre peuple et de notre Eglise au Pape», dans l’attente de son accompagnement pastoral et spirituel.

Dans ce contexte, Mgr Moronta a demandé aux fidèles de participer aux prochaines fêtes mariales: celle du 15 août, en la solennité de l’Assomption de la Vierge Marie et celle du 11 septembre, solennité de Notre-Dame de Coromoto, sainte patronne du pays. «Ces journées doivent exprimer l’unité et la communion effective et affective de tous les diocèses du Venezuela avec leurs pasteurs».

Alina Tufani – Cité du Vatican

«Nous porterons la voix des plus pauvres et des plus petits de la société vénézuélienne»: ce sont les paroles du premier vice-président de l’épiscopat vénézuélien, Mgr Mario Moronta, archevêque de San Cristobal, au cours de la conférence de presse de présentation de la lettre pastorale «en communion avec l’évêque de Rome et l’Eglise universelle», écrite en vue de la visite ad limina des évêques, prévue du 4 au 17 septembre prochain.

Accompagné de Mgr José Trinitad Fernandez, secrétaire général de la conférence épiscopale, l’archevêque de San Cristobal a rappelé l’un des objectifs premiers de la visite ad limina : «renforcer la responsabilité des pasteurs comme successeurs des apôtres, être expression de la vie et de l’engagement de tous les catholiques, qu’ils soient évêques, prêtres, religieux et laïcs».

Ni des «touristes», ni de «simples fonctionnaires»

La lettre pastorale a été présentée, alors que l’assemblée plénière de l’épiscopat a débuté dimanche à Caracas. Dans le document, les évêques affirment que l’audience avec le Pape François, prévue le 10 septembre, sera un moment de dialogue fraternel sur la vie de l’Eglise au Venezuela, dans toutes ses réalités diocésaines, ainsi que sur la situation du pays : «au Pape et à tous ses collaborateurs, nous ferons entendre la volonté de liberté, de justice et de paix de toute notre peuple, touché par la crise qui frappe la nation. En toute sécurité, nous porterons la voix des plus pauvres et des plus petits de la société vénézuélienne».

«Nous ne partons pas comme des touristes ou comme de simples fonctionnaires, -affirment encore les évêques-, parce que cette visite est une réponse à la grâce de Dieu, afin de recevoir de nouvelles lumières pour le bien de notre travail pastoral et en faveur du peuple vénézuélien». Par leur présence à Rome, ils pourront ainsi confirmer leur communion avec le Pape François, qu’ils remercient pour avoir toujours fait montre d’une préoccupation sérieuse pour le pays.

Prier pour le succès de cet événement ecclésial

Les dernières visites ad limina des évêques vénézuéliens ont eu lieu en 2002, avec le saint pape Jean-Paul II, et en 2009, sous le pontificat de Benoît XVI. Après neuf ans, cette tradition se présente comme une nouvelle opportunité pour les évêques de «porter les préoccupations, les angoisses, les espérances et les désirs de notre peuple et de notre Eglise au Pape», dans l’attente de sa direction et de son accompagnement pastoral et spirituel.

Dans ce contexte, Mgr Moronta a demandé aux fidèles de participer aux prochaines fêtes mariales: celle du 15 août, en la solennité de l’Assomption de la Vierge Marie et celle du 11 septembre, solennité de Notre-Dame de Coromoto, sainte patronne du pays. «Ces journées doivent exprimer l’unité et la communion effective et affective de tous les diocèses du Venezuela avec leurs pasteurs».

ggAlina Tufani – Cité du Vatican

«Nous porterons la voix des plus pauvres et des plus petits de la société vénézuélienne»: ce sont les paroles du premier vice-président de l’épiscopat vénézuélien, Mgr Mario Moronta, archevêque de San Cristobal, au cours de la conférence de presse de présentation de la lettre pastorale «en communion avec l’évêque de Rome et l’Eglise universelle», écrite en vue de la visite ad limina des évêques, prévue du 4 au 17 septembre prochain.

Accompagné de Mgr José Trinitad Fernandez, secrétaire général de la conférence épiscopale, l’archevêque de San Cristobal a rappelé l’un des objectifs premiers de la visite ad limina : «renforcer la responsabilité des pasteurs comme successeurs des apôtres, être expression de la vie et de l’engagement de tous les catholiques, qu’ils soient évêques, prêtres, religieux et laïcs».

Ni des «touristes», ni de «simples fonctionnaires»

La lettre pastorale a été présentée, alors que l’assemblée plénière de l’épiscopat a débuté dimanche à Caracas. Dans le document, les évêques affirment que l’audience avec le Pape François, prévue le 10 septembre, sera un moment de dialogue fraternel sur la vie de l’Eglise au Venezuela, dans toutes ses réalités diocésaines, ainsi que sur la situation du pays : «au Pape et à tous ses collaborateurs, nous ferons entendre la volonté de liberté, de justice et de paix de toute notre peuple, touché par la crise qui frappe la nation. En toute sécurité, nous porterons la voix des plus pauvres et des plus petits de la société vénézuélienne».

«Nous ne partons pas comme des touristes ou comme de simples fonctionnaires, -affirment encore les évêques-, parce que cette visite est une réponse à la grâce de Dieu, afin de recevoir de nouvelles lumières pour le bien de notre travail pastoral et en faveur du peuple vénézuélien». Par leur présence à Rome, ils pourront ainsi confirmer leur communion avec le Pape François, qu’ils remercient pour avoir toujours fait montre d’une préoccupation sérieuse pour le pays.

Prier pour le succès de cet événement ecclésial

Les dernières visites ad limina des évêques vénézuéliens ont eu lieu en 2002, avec le saint pape Jean-Paul II, et en 2009, sous le pontificat de Benoît XVI. Après neuf ans, cette tradition se présente comme une nouvelle opportunité pour les évêques de «porter les préoccupations, les angoisses, les espérances et les désirs de notre peuple et de notre Eglise au Pape», dans l’attente de sa direction et de son accompagnement pastoral et spirituel.

Dans ce contexte, Mgr Moronta a demandé aux fidèles de participer aux prochaines fêtes mariales: celle du 15 août, en la solennité de l’Assomption de la Vierge Marie et celle du 11 septembre, solennité de Notre-Dame de Coromoto, sainte patronne du pays. «Ces journées doivent exprimer l’unité et la communion effective et affective de tous les diocèses du Venezuela avec leurs pasteurs».

gg

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10 juillet 2018, 16:25